La nature est essentielle dans ma vie, dans mon travail.
Source d’émerveillement et d’apaisement, elle est également forte d’inspirations et de rythmes.
J’aime imprimer dans la terre des éléments naturels, glanés au hasard de balades pour leurs nervures délicates, leurs formes qui m’interpellent, leur singularité, leur force.
J’aime détourner des objets du quotidien ou du passé. J’en imprime un détail, une texture.
J’aime jouer avec la forme, le volume, provoquer des craquelures voire des déchirements.
Je modèle ou travaille à la plaque le grès imprimé ; après la cuisson de biscuit, je pose des oxydes, des colorants que j’accentue ou non selon l’effet recherché de même pour la pose de l’émail.
J'ai installé mon atelier en Creuse depuis novembre 2010.
Jean Girel (nommé maître d’art en 2000) disait : « Argile des cavernes qui servit à notre ancêtre à imprimer sa main sur la paroi, à tracer des signes, à dire, l’empreinte de ma main signe mon existence d’homme debout et me permet de dire : je suis ».
Sabine Archas Kieffer
Source d’émerveillement et d’apaisement, elle est également forte d’inspirations et de rythmes.
J’aime imprimer dans la terre des éléments naturels, glanés au hasard de balades pour leurs nervures délicates, leurs formes qui m’interpellent, leur singularité, leur force.
J’aime détourner des objets du quotidien ou du passé. J’en imprime un détail, une texture.
J’aime jouer avec la forme, le volume, provoquer des craquelures voire des déchirements.
Je modèle ou travaille à la plaque le grès imprimé ; après la cuisson de biscuit, je pose des oxydes, des colorants que j’accentue ou non selon l’effet recherché de même pour la pose de l’émail.
J'ai installé mon atelier en Creuse depuis novembre 2010.
Jean Girel (nommé maître d’art en 2000) disait : « Argile des cavernes qui servit à notre ancêtre à imprimer sa main sur la paroi, à tracer des signes, à dire, l’empreinte de ma main signe mon existence d’homme debout et me permet de dire : je suis ».
Sabine Archas Kieffer